Avec Get Kartoon, son deuxième album, Benjamin Petit Delor remonte au cocotier. De là-haut, bien installé à califourchon, le cigarillo souriant, il en profite pour balancer harangues et carapaces bleues dont personne ne réchappe. En 1 album, 10 titres, 32 minutes, Benjamin Petit Delor nous fait passer un contrôle technique exhaustif où l’on casse sa pipe 400 fois et, trompettes battantes, on est remis en selle et poussé jusqu’en haut du col, aspergé de jus de citron et seringué au concentré de tomate. Sa naissance un 11/10/1011 (son côté binaire) est déterminante : il sera scorpion dragon de feu. Devenu peintre–graphiste, musicien tout chemins, chanteur–projecteur Bluetooth, habitué aux performances, Benjamin Petit Delor est effectivement très performant : il souffle dans les bugles, tape sur des bidons (non classé), chatouille la moumoute de son violon, zigouigouite les strings panthères de sa mille cordes, et quand le silence s’abat brutalement, on entend encore son souffle d’ogre qui ronronne ses neurones à l’entrée de la grotte. En 2015, il s’habille en chevalier de jungles et d’esprits pour le déjà label Le Saule, et puis il remet ça à un mois de la coupe du monde, rembobinant une bonne dizaine de siècles de chanson française, eurasiatique et rémoise. Le résultat est sensass’. Banzaï !
Chanson titanesque de 15 minutes du Paradis World Tour de Petit Delor illustrée par Cindy Cookie, qui donne le temps à des dizaines d’authentiques instruments de musique de faire la fête, pour opérer une petite révolution dans le genre chanson française et éventuellement pour redorer votre envie furieuse de colmater la société ! La locomotive Petit Delor ne manque pas de charbon et livre un récit machiavélique de ce qu’est la guerre pour de vrai, bien loin des fêtes nationales polies que les pays du monde entier tentent de présenter. De l’action à bout de souffle au service d’une caricature parfois féroce.
Avec Get Kartoon, son deuxième album, Benjamin Petit Delor remonte au cocotier. De là-haut, bien installé à califourchon, le cigarillo souriant, il en profite pour balancer harangues et carapaces bleues dont personne ne réchappe. En 1 album, 10 titres, 32 minutes, Benjamin Petit Delor nous fait passer un contrôle technique exhaustif où l’on casse sa pipe 400 fois et, trompettes battantes, on est remis en selle et poussé jusqu’en haut du col, aspergé de jus de citron et seringué au concentré de tomate. Banzaï !
Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres ! Petit Delor ne réfléchit pas avec le cerveau des autres !